À partir du 1ᵉʳ janvier 2025, l’URSSAF mettra fin à l’exonération des cotisations sociales pour la recharge gratuite des véhicules électriques en entreprise. Jusque-là, cette pratique, largement adoptée pour encourager la transition énergétique, était considérée comme un avantage fiscal non soumis à charges sociales.
Avec ce changement, l’électricité fournie gratuitement par les employeurs sera désormais traitée comme un avantage en nature. Cela implique des cotisations sociales supplémentaires pour les entreprises et une imposition potentielle pour les salariés. Ce revirement risque de rendre moins attractifs les véhicules électriques pour de nombreux salariés, alors même que la France cherche à accélérer leur adoption.
Les entreprises devront choisir entre absorber les coûts liés à cette nouvelle fiscalité ou facturer la consommation électrique à leurs employés. Ce changement s’ajoute à d’autres mesures récentes, comme la réduction de certaines primes écologiques, qui pourraient freiner l’élan vers une mobilité durable.
Alors que les entreprises et les particuliers s’interrogent sur les implications de cette décision, il devient essentiel d’explorer de nouvelles stratégies pour continuer à soutenir la transition énergétique sans alourdir la fiscalité des acteurs concernés.
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